Si nous nous en référons aux quelques illustrations cités brillamment, comme à son habitude, par Charles de Courson, nous voyons bien que l'on pourrait à l'infini développer l'idée qui est au fond la vôtre : toute bonne pratique doit faire l'objet d'un crédit d'impôt.
Toute bonne pratique doit-elle effectivement faire l'objet d'un crédit d'impôt ? Pour ma part, j'en doute.