Non seulement j'approuve les propos de Mme Loschetter, mais je suis d'avis, comme Mme Künast, qu' il faut insister, dans la proposition de déclaration, sur l'urgence qu'il y a à légiférer en la matière : il ne faut pas laisser les entreprises prendre le dessus. C'est aux parlements et à l'Europe qu'il appartient d'agir en premier lieu.