Chaque fois que nous sommes intervenus – ce fut le cas notamment au Mali –, nous avons essayé de renforcer un État de droit et de s'appuyer sur lui. Or si, sur l'Irak, notre position est claire, la situation est plus compliquée s'agissant de la Syrie. Je note que, lors de la conférence de Paris, l'Iran était le seul État ayant décidé de ne pas participer, alors qu'il est incontournable au sujet de ces deux pays. Où en sont les réflexions sur ce point, sachant qu'intervenir en Syrie soulève un certain nombre de questions ?