Vous dites « ne pas remettre en cause l’universalité de la politique familiale ». Pourtant, ce sont les femmes qui seront les premières victimes de ce lourd rabotage !
Voulant éviter tout débat, y compris au sein de la majorité, le groupe socialiste a mis les députés frondeurs à l’écart de la commission des affaires sociales, de façon à les bâillonner.