Si, pour une fois, nous considérions que ce qui compte, c’est l’essentiel, et non pas l’accessoire, c’est l’impulsion, et non pas les proclamations, ce sont les actions, et non pas les intentions ?
Cette façon d’être, cette capacité à dépasser les clivages parfois stériles, souvenez-vous – j’y étais, avec d’autres, notamment Philippe Plisson –, nous l’avions mise en oeuvre lors de la loi Grenelle I. Oui, les socialistes avaient voté pour ce texte, en opposants responsables, à la veille, pour ne pas dire à quelques heures d’un sommet européen qui comptait.