Monsieur le président, votre propos laisse songeur, quand on considère l'écart constant entre les déficits annoncés et les déficits exécutés. Le remède choisi, à savoir l'augmentation des impôts, n'a-t-il pas affecté la capacité de croissance de notre économie et partant, sa capacité de résorption des déficits ? Vous connaissez l'effet Laffer, qui veut que « trop d'impôt tue l'impôt »...