Notre niveau d'expertise sanitaire lors de ces crises épidémiologiques aiguës et les capacités que nous sommes en mesure de déployer doivent nous faire relativiser le déclin de notre pays.
Vous avez parlé d'une contamination sécrétoire et non respiratoire, mais la contamination par l'eau et les aliments ne rend-elle pas les choses plus complexes, sans parler des mutations virologiques ?
L'Institut Pasteur avait-il connaissance de ce virus avant le déclenchement de l'épidémie, et des recherches étaient-elles déjà en cours ?
Enfin, pourriez-vous nous en dire davantage sur les rites funéraires ?