Madame la députée, je vous rappelle que l'information statistique dont nous disposons provient d'ores et déjà de deux sources : d'une part, l'enregistrement des faits traités par les logiciels de rédaction des procédures et, d'autre part, les enquêtes INSEE de victimation qui prennent en compte le sentiment d'insécurité et l'appréciation des citoyens sur le travail des forces de sécurité. L'ONDRP croise ces travaux afin de proposer des analyses fondées sur la vision la plus juste et la plus complète possible de la réalité. Votre demande est donc pleinement satisfaite.