Cet article assouplirait les contrats d'apprentissage, dont 25 % sont rompus. Cette rupture, qui intervient souvent dans les deux premiers mois, laisse souvent les jeunes sur le carreau. L'article permettrait de les réorienter vers d'autres formations, pas forcément soumises aux cycles scolaires traditionnels. De tels dispositifs existent dans d'autres pays.