Vous le savez, madame Pécresse : il s’agit tout d’abord de réintégrer dans la réduction d’impôt déjà adoptée par votre Assemblée à l’occasion de la loi de finances rectificative de 2014 les deux milliards d’euros prévus sous la forme d’une réduction des cotisations salariales que le Conseil constitutionnel a annulée.