Aujourd’hui, dans la restauration collective, on importe plus de 70 % de ce que l’on consomme. On va donc développer, sur la base des plateformes que l’on avait mises en place, des systèmes de connexion entre les offres agricoles et maraîchères existant sur le plan local, dans les départements, et les besoins exprimés par les cantines scolaires, les hôpitaux et les maisons de retraite.