La population libanaise ainsi que 25 000 compatriotes qui vivent entre Beyrouth, Tripoli et Saïda nous font part quotidiennement de leurs interrogations et inquiétudes. Je suis aujourd’hui leur interprète auprès de vous, monsieur le ministre de la défense.
Quelles sont les raisons pour lesquelles le processus d’accord et de livraison semble être stoppé ? On nous parle d’une commission jugée excessive par la partie saoudienne… Les autorités françaises sont légitimement dans l’attente d’une réponse saoudienne qui tarde à venir ; pourquoi ? Si ce processus devait être réactivé, sous quels délais pourraient être envisagées les premières fournitures d’armes compte tenu de l’urgence de la situation ?