Pour ma part, je ne sais pas prévoir l'avenir. Je ne sais pas quels seront le dynamisme des ressources du CNC et l'état de cet opérateur. Nous verrons le moment venu.
Le Gouvernement, ainsi que notre assemblée, qui l'a suivi, a pris ses responsabilités en décidant un prélèvement de 150 millions sur le CNC. Vous pouvez bien dire que ce n'est pas assez ; il n'en reste pas moins que, vous, vous ne l'avez jamais fait !
Saint-Exupéry disait : « Pour ce qui est de l'avenir, il ne s'agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. » C'était la pensée du jour. (Sourires.)