Monsieur le ministre, je profite de votre présence pour appeler votre attention sur la situation des salariés de grands groupes divisés en segments inférieurs à 50 salariés. Le groupe GEA, par exemple, compte 24 000 salariés ; l’une de ses unités, qui fait l’objet d’un projet de délocalisation, compte moins de 50 salariés. Ils ne peuvent donc pas bénéficier d’un plan de sauvegarde de l’emploi. Monsieur le ministre, il faut améliorer les droits des salariés : nous devons être offensifs dans ce domaine.
Pour conclure, nous devons arrêter de nous opposer les uns aux autres, et travailler réellement à une société apaisée, plutôt que de toujours faire de l’idéologie.