Devons-nous les abandonner ? Si nous essayons de les récupérer, qu’avons-nous à leur proposer ? D’intégrer un centre de l’EPIDE, sachant que cela coûte très cher ? Ne vaut-il mieux pas trouver une solution qui leur permette d’acquérir progressivement des bases de travail et de consolider leurs connaissances générales tout en les amenant vers l’entreprise ? J’avais créé en 2011 les classes études-métiers, un peu à l’image des classes sport-études : les jeunes étudient le matin, et l’après-midi, ils effectuent des visites d’entreprise. Dans un tel dispositif, au moins ils ne sont pas abandonnés.
Je crois, mes chers collègues, avoir répondu à chacun des orateurs et j’espère vous avoir transmis ma foi et ma passion pour ces sujets.