Monsieur le président, madame la présidente de la commission des affaires sociales, monsieur le rapporteur, mesdames et messieurs les députés, je ferai à mon tour quelques remarques sur notre débat. Je tiens tout d’abord à remercier les orateurs de la sérénité des échanges, en dépit des oppositions. Cela montre bien que nous avons des points de convergence, ce qui bien sûr n’empêche pas de souligner les divergences. J’en ai relevé une, majeure, qui me semble traverser le groupe UMP. Vous venez de défendre le dialogue social, monsieur le rapporteur, avec une sincérité dont je ne doute pas. Mais au sein même de votre groupe politique, certains plaident pour la suppression des corps intermédiaires.