Ce n’est pas moi qui le dis, mais le président de notre assemblée.
Vous avez donc décidé de bâcler ce texte, qui est en gestation depuis deux ans. Vous l’inscrivez au dernier moment et il ne fait l’objet que de trois jours de débats en commission. En outre, vous avez recours à la procédure d’urgence. Au nom de quoi recourir à l’urgence pour des mesures dont l’application est prévue pour 2030, voire pour 2040 ou 2050 ? Cela ne peut s’expliquer que par une volonté politique de bâcler ce texte.