Je n’ai pas passé six mois à travailler sur ces questions, je n’ai pas passé quarante-cinq heures avec mon collègue Daniel Fasquelle à arbitrer des débats de la société civile sur l’énergie, pour me faire plaisir avec une série d’amendements bidons, aux fins d’obstruer le processus parlementaire ! Ceux qui étaient en commission pourront témoigner du fait que nous n’avons pas essayé de faire de l’obstruction et que nous avons tenté d’enrichir le débat.