Vous avez évoqué, madame Doré, vos inquiétudes quant à la montée en puissance du service civique, pouvez-vous préciser votre point de vue ?
Qu'en est-il ensuite de ce qui vous paraît nécessaire en matière de formation – initiale ou continue – des bénévoles associatifs ? Quel lien établir avec l'éducation nationale, avec des professions du champ médico-social ?
Vous avez parlé, madame Chabrun, de la difficulté pour les associations que le CAPE représente d'être reconnues au sein des ESPE. Quel est le lien avec le périscolaire ?
Dans le cadre de la réforme des rythmes scolaires, les associations peuvent nouer des contrats avec les collectivités territoriales, or je suis persuadée que l'éducation populaire reste une force de proposition. Au fil du temps, votre rôle reprendra toute son importance et l'on reconnaîtra votre nécessité. Le monde de la jeunesse et de l'éducation est en pleine mutation. Je ne suis pas aussi pessimiste que vous sur votre rôle dans les politiques que nous allons décliner en faveur de la jeunesse. La cohésion sociale, la mixité sociale passeront par le travail que vous effectuerez et par la manière dont on parviendra, y compris dans le cadre de la réforme territoriale, à contractualiser avec vous.