L'affaire de Sète a été évoquée, mais je me souviens aussi d'un navire sous pavillon ukrainien qui s'est trouvé dans le même cas. La convention permettra-t-elle de régler de telles situations ? Des bateaux se retrouvent à l'abandon dans nos ports, avec à leur bord des marins qui refusent de les quitter pendant de longs mois, car ils considèrent cette occupation comme leur seule chance d'être un jour payés – la France est pourtant prête à assurer leur rapatriement.