Il faut évidemment trouver un équilibre pour que nos forces en opérations ne soient pas contraintes par un problème de trésorerie. L'évolution des théâtres de crise est beaucoup plus rapide qu'il y a quelques années et nous devons avoir les capacités d'adaptation immédiates. Cela peut conduire à des dérapages importants, comme celui constaté l'an dernier, 1,2 milliard d'euros, qui était quasiment sans précédent.
Pour ce qui concerne les recettes exceptionnelles, je crois que nous sommes couverts par l'article 3 de la LPM et c'est à nous d'être vigilants et de faire en sorte que le calendrier soit respecté.