Madame Dalloz, nous allons avoir le temps de discuter de tous les points qui composent la loi de finances ici même, à l’Assemblée nationale, qui est le lieu où s’exerce la souveraineté nationale.
Je m’étonne du peu de confiance en vous-même que vous manifestez ! C’est ici que vous allez vous exprimer et faire valoir vos arguments, et non à Bruxelles. Je vous donne un conseil, madame : vous serez plus forte si vous ne vous appuyez pas sur Bruxelles pour animer le débat démocratique que nous aurons ici même.