Monsieur le Premier ministre, à l’issue de la rencontre que vous avez eue avec des élus socialistes au sujet de la réforme territoriale, le député Bies vous a prêté des propos qui ont profondément choqué nos concitoyens. La première affirmation, c’est qu’il serait désormais impossible d’envisager que la région Lorraine et la région Champagne-Ardenne restent séparées. Qu’en est-il pour vous ?
La deuxième affirmation, c’est que vous auriez dit qu’une Alsace seule serait une Alsace repliée sur elle-même. Vous imaginez aisément que de tels propos ont fortement choqué les Alsaciens.