Mais je pense que nous gagnerions tous à sortir de ce faux débat, qui permet invariablement à l’opposition, qui n’a jamais atteint un tel ralentissement de la dépense, de faire penser que nous ne ferions pas d’économies, alors que son bilan en la matière est tout simplement indigent. Je le répète, avec les 50 milliards d’euros d’économies que nous proposons, la dépense publique ne progressera que de 0,2 % en volume par an, là où elle augmentait en moyenne annuelle de 2 % en volume entre 2002 et 2012.