Il s'agit effectivement d'organiser la poursuite solidaire de l'auteur de l'infraction et de l'affréteur. Or, selon nous, elle est déjà juridiquement possible, quoiqu'il n'y soit pas recouru en pratique. Telle est l'analyse des juristes qui ont examiné la question. La commission – j'en suis navré, mon cher collègue – n'a donc pas retenu l'amendement n° 652 .
Ce n'est pas facile, certes, il faut notamment identifier l'affréteur, mais c'est déjà faisable.