Nos problèmes ne viendront ni de la Commission européenne ni de la BCE. Ils viendront du fait que nous ne pourrons plus couvrir suffisamment notre besoin de financement. Il nous faudra emprunter 200 milliards d’euros en 2015. Jusqu’à présent, les taux d’intérêt baissent de 10 ou 20 points de base au fur et à mesure que nous sommes dégradés – Standard and Poor’s parle désormais d’une perspective « négative ». On n’a jamais emprunté pour aussi peu cher.