La clarté du débat y aurait gagné, surtout à la lecture d’un certain nombre de propositions des différents candidats à la présidence de l’UMP.
Vous avez aussi évoqué, monsieur Woerth, la réduction des déficits. Je répète les chiffres que j’ai cités tout à l’heure, et que Mme Pécresse et vous-même avez semblé contester. En 2010, les comptes de l’État, hors participation au Fonds monétaire international, présentaient un déficit de 148,8 milliards d’euros.