Au-delà de cette avalanche de chiffres déjà consignés dans le projet annuel de performance, sur combien de traducteurs supplémentaires pourra-t-on compter dans le domaine du renseignement, en particulier pour le fārsi ?
L'achat de nouveaux algorithmes est-il envisagé pour éviter le « syndrome de la Stasi », en d'autres termes la prolifération de données non traitées ?
Enfin, quelles sont les zones prioritaires ?