S'agissant des recettes exceptionnelles, à chaque cession d'une partie du capital des entreprises de défense, c'est un peu les bijoux de famille que nous vendrons. Ces cessions seront des dividendes en moins pour l'avenir. Répondront-elles à une stratégie industrielle nationale ou européenne ou bien à une logique de culbute financière ?
L'an passé, vous nous avez affirmé que l'exportation des Rafale constituait un élément majeur de la trajectoire financière de la LPM. Vous aviez indiqué le quatrième trimestre 2015 comme date limite de signature d'un contrat. Pouvez-vous nous rassurer ?