Le président de la République reste vigilant s'agissant de la livraison des BPC, car la sécurité de l'Europe, c'est-à-dire la nôtre, est en jeu. Si l'intervention russe en Ukraine continuait à traduire une politique qui menace notre sécurité, chacun comprendrait que nous ne livrions pas d'armes pour nous battre un jour avec. Nos interlocuteurs l'ont bien compris. Il convient en outre de prendre en considération les inquiétudes de nos partenaires au sein de l'Union européenne situés à l'est. Ce que nous avons fait par exemple en Pologne, en y déployant des Rafale.