En raison de l'existence d'une « fracture numérique », ce projet de loi ne se donne pas les moyens de garantir l'égalité d'accès à l'information, préalable indispensable à la participation : l'outil numérique, particulièrement dans les zones rurales, n'est pas à la portée de tous. C'est pourquoi je propose que les documents nécessaires soient consultables en préfectures et sous-préfectures.