Si, puisque cela concerne aujourd’hui les patrimoines logés en assurance vie ou en épargne dormante ou plus ou moins active. Nous avons travaillé pour essayer de réinjecter, notamment dans le secteur du logement ou dans le secteur économique du bâtiment, une partie du patrimoine individuel de nos concitoyens. Nous avons créé des produits à cet effet – je pense bien sûr à l’assurance-vie, par exemple.
Mesdames, messieurs, vous avez dit que l’on créait une niche.