Un mot sur ce débat intéressant. Monsieur de Courson, vous savez fort bien que plus on monte dans les déciles, plus la part des revenus du patrimoine est importante. On peut donc penser, et vous en serez d’accord, que la part des retraites, donc des majorations de retraite, est beaucoup plus faible dans les déciles supérieurs que dans les déciles inférieurs.
Le regard qu’a porté la rapporteure générale tout à l’heure sur la répartition par déciles était absolument incontestable et les arguments qui ont été donnés alors me paraissent de nature à clore le débat.