Monsieur le secrétaire d’État, vous avez tout à l’heure parlé de « mauvaise foi » à propos de certains de mes collègues. Ces mêmes collègues vous ont beaucoup observé pendant les cinq années de la législature précédente, lorsque vous étiez dans l’opposition. Vous faisiez alors preuve d’une telle mauvaise foi qu’au fond, c’est peut-être vous qui leur avez servi de modèle en la matière ! Pour ma part, j’ai pris mon inspiration quelques années auparavant.
Mais cet amendement ne relève pas de la mauvaise foi ; il vise à favoriser l’investissement, et donc la croissance. Chacun conviendra que s’il y a des mauvaises dépenses fiscales, il en y a aussi de bonnes.