M. Barbier met en cause à la fois la tutelle, l'intervention de l'État, le personnel des ARS, et un processus de contrôle qui ne peut qu'être dépourvu de sens s'il n'est pas assorti de pénalités. Nous nous sommes assez plaint des dérives financières des établissements, conduisant au dépôt de bilan d'associations et de structures privées, avec des conséquences catastrophiques pour les patients, les communes, l'aménagement du territoire. La régulation est donc nécessaire, ce qui n'empêche d'ailleurs pas l'action dans l'urgence : cette dernière est prise en considération par cet article. Les ARS représentent, dans leur périmètre, l'intérêt général en matière de santé. Nos collègues ont un a priori négatif contre les représentants de l'intérêt général.