J'ai souvent dénoncé les prescriptions abusives. Un contrat d'objectifs en matière de pertinence des soins est quelque chose de souhaitable, mais il est dommage que vous l'assortissiez de pénalités. C'est un étatisme forcé. Il vaudrait mieux prévoir un dialogue entre les ARS et les directeurs d'hôpitaux. Pourquoi mettre ces derniers en difficulté, quand ce sont les médecins qui prescrivent ? Certains services éviteront de prendre en charge des actes afin d'éviter de possibles sanctions. Il faut supprimer les pénalités financières prévues aux alinéas 20 et 21.