Cet amendement vise à développer la chirurgie ambulatoire, dont la Cour des comptes souligne qu'elle reste en décalage, en France, avec un important potentiel de développement mis en évidence par la pratique des autres pays occidentaux. Cette pratique est source d'économies significatives. L'amendement prévoit que le contrat pluriannuel d'objectifs et de gestion conclu entre l'ARS et l'établissement de santé comprend obligatoirement des objectifs chiffrés de développement de la chirurgie ambulatoire ainsi qu'un calendrier de mise en oeuvre pluriannuelle.