Si, par exemple, l'HAS décide que la pose d'une prothèse de hanche peut donner droit à une dizaine de séances de rééducation chez un kinésithérapeute libéral, toute séance supplémentaire n'est plus prise en charge par l'assurance maladie, sauf si une nouvelle entente est accordée. Par contre, une personne peut sans problème rester trois semaines en service de soins dans un centre de rééducation. Il convient donc que les mêmes référentiels s'appliquent à la médecine ambulatoire et aux centres de soins.