puisqu’il vise, comme le précédent, à améliorer le dispositif au bénéfice de la recherche. Il ne s’attaque pas au CIR ; il s’agit d’un amendement de bon sens qui vise à ce que des docteurs puissent être embauchés dans les entreprises avec l’aide du CIR même s’il ne s’agit pas d’une première embauche.
Il va dans le même sens que les amendements que j’ai présentés précédemment, et j’aimerais que l’on ne me dise pas à nouveau, pour toute réponse, qu’il met en cause la stabilité du dispositif, car c’est tout le contraire ! En quoi ce type de proposition pourrait-il nuire à l’efficacité du dispositif ? Pourquoi empêcher les entreprises de puiser dans le vivier de savants et de chercheurs que notre université met à leur disposition ?