Je suis également surpris de voir que certains veulent octroyer des avantages à des entreprises pour qu’elles investissent. Quand on est dans une situation critique, on n’investit pas puisque de toute manière personne ne vous prêtera. Je suis chef d’entreprise, et je peux vous assurer que quand vous allez voir votre banquier, il ne vous prêtera pas d’argent si vous êtes dans une situation difficile.
Il attend patiemment que vous vous refassiez une santé, vous demande de faire le gros dos ; en aucun cas, il ne va vous prêter pour faire de l’investissement. De grâce, passons plus rapidement sur ces amendements qui amusent bien M. Chartier, qui se régale et en fait des gorges chaudes. L’instant est grave. Nous traitons de situations financières tendues. Passons à l’essentiel et cessons de travailler sur l’accessoire.