C’est seulement quand on est sûr de disposer d’une certaine quantité de recettes que l’on décide d’investir, que ce soit dans l’indispensable capital physique – comme le suggère M. Le Fur – ou dans le capital humain, c’est-à-dire dans l’embauche de nouvelles équipes et dans la création d’emplois.
Le seul point négatif cité systématiquement par nos interlocuteurs, c’est la tentation de remettre sans cesse le sujet en débat dans cet hémicycle.