Nous pouvions débattre de ces différentes pistes.
Que les circonstances économiques, qui sont en effet extrêmement inquiétantes, nous amènent à poursuivre le débat – comme nous l’avons fait, cher Pierre-Alain Muet, en commission des finances, notamment à propos d’un amendement de Henri Emmanuelli que nous aurons bientôt l’occasion d’examiner de nouveau – sur la manière dont, dans la durée, les dispositifs pourraient évoluer, j’en suis d’accord. Mais remettre en cause le dispositif, non. Je rappelle que c’est là la position constante du groupe socialiste, que je réaffirme une fois encore.
C’est pourquoi je ne peux en aucun cas accepter les interventions venues de la gauche de l’hémicycle, qui tendent à mettre en cause le Gouvernement parce qu’il a décidé de réserver les votes. Cette décision a été prise en plein accord avec les responsables du groupe socialiste.