Le Premier ministre les a rencontrées, en présence de la ministre de l’écologie, du secrétaire d’État chargé des transports et de moi-même en début de semaine. Il ressort du dialogue vif que nous avons entamé que c’est l’un des points dont nous pourrons discuter. Sans révéler ici nos forces et nos faiblesses, il paraît d’ores et déjà difficile, sur un plan constitutionnel, de légiférer en distinguant les autoroutiers des autres. Nous disposons d’autres leviers, actuellement à l’étude. Je ne peux en dire davantage, mais le Gouvernement prendra ses responsabilités.
Le débat doit avoir lieu, le sujet est connu, mais il ne me semble pas opportun aujourd’hui de prendre une telle mesure, après être passé de 0 % à 15 %, puis de 15 % à 25 %. Je préfère donc demander la réserve sur le vote de cet amendement.