Le simple fait de posséder un site internet n'est pas suffisant pour affirmer que l'association se conduit comme une entreprise du secteur privé. Il faut un faisceau d'indices. Dès lors que le site d'une association n'est pas truffé de liens renvoyant à des sites commerciaux mais se contente de livrer des informations sur ses activités, l'association ne saurait être inquiétée. En revanche, des sites qui se révéleraient être les faux nez d'entreprises privées seraient pris en considération pour statuer sur la situation fiscale de l'association.