À l’heure où chacun doit prendre conscience du coût de l’accès aux soins supporté par l’assurance maladie et donc par les cotisants, cette généralisation ne risque-t-elle pas, madame la secrétaire d’État, de se traduire par une déresponsabilisation totale ? Nous le craignons.
Vous l’aurez compris par ces quelques exemples : vos choix ne sont pas les nôtres et nos amendements sont la traduction de nos désaccords. Gageons que c’est bien l’intérêt général qui guidera nos débats cette semaine et non pas la somme des intérêts particuliers d’une majorité qui a manifestement bien du mal à se retrouver autour d’une ligne claire susceptible de concilier redressement des comptes publics et protection sociale équitable.