Quels espoirs peut-on encore fonder sur les exportations de Rafale, dont vous avez dit qu'elles conditionnaient la bonne exécution du PLF, mais dont on n'entend plus guère parler ?
Vous semblez par ailleurs un peu inquiet au sujet des ressources exceptionnelles. Quels sont les scénarios envisagés au cas où celles-ci n'atteindraient pas le niveau escompté ?
Les montages évoqués, fondés notamment sur la location d'armements, me paraissent, comme à mon collègue Candelier, complexes et potentiellement coûteux. Ils sont censés pallier une difficulté temporaire, mais risquent d'en créer de bien plus grandes à long terme.