L'objectif fait bien entendu consensus. La difficulté, dans le cas que nous soumet Mme Kosciusko-Morizet, est que le père, s'il était poursuivi, expliquerait que c'est son fils mineur, et non lui, qui consulte ces sites ; en ce cas la saisine d'un juge des enfants semblerait nécessaire. La création d'une incrimination particulière permettrait-elle de lutter contre la diffusion de ce type d'images chez les mineurs ? Je n'en suis pas sûr.