Nous ne sommes pas dans le cas de l'urgence absolue, qui permet au ministre d'expulser une personne sans avis de la commission d'expulsion, mais dans celui du droit commun, qui nécessite cet avis. Je propose seulement que la personne étrangère puisse demander un nouveau délai, afin que toutes les garanties soient respectées, et que cette procédure s'applique à tous les cas relevant de la commission d'expulsion.