Nous avons contribué tout à l’heure à dégonfler la dette agricole corse, il s’agit à présent d’indemniser l’entrave au fonctionnement touristique de la Corse qu’a constitué le mouvement social survenu au mois de juin et juillet derniers. Compte tenu de l’apport de la Corse à la capacité touristique française, je suis, à titre personnel, favorable à cet amendement que la commission n’a pas eu le loisir d’examiner. Pouvez-vous cependant, monsieur le secrétaire d’État, en évaluer le coût ?