La crise conjoncturelle liée à l'embargo russe risque de se transformer en difficultés structurelles. La presse relatait ce matin la volonté des Russes d'accroître, à coup d'investissements massifs, leur indépendance en matière de viande porcine. Il en ira probablement de même pour les autres produits concernés par l'embargo. Il nous faudra nous adapter à cette nouvelle situation ; le ministère de l'agriculture a-t-il commencé à y réfléchir ?